Use of uranium by Israel in Gaza seems to be not as polluting as in other conflicts (Iraq, Afghanistan, etc). Uranium has been found in several samples of dust in Gaza : In April 2009, a four-person mission including Jean-François Fechino went to Gaza under the auspices of the Arab Commission for Human Rights. The samples of earth and dust that they brought back from Gaza were then analysed by a specialist laboratory, which found in them elements of depleted uranium (which is radioactive, carcinogenic, teratogenic), particles of cesium (which is radioactive and carcinogenic)… (Al-Monitor article)
Cesium is a proof of micro-fission, and the flashs also are a clear proof. This is clear for instance from this footage of an air raid on Gaza, where it is possible to see big flashes in the night followed by fireballs. Production of light is characteristic of nuclear fission, here simply in a limited intensity. It happens at the very instant of fission, whereas the fireball takes a bit more time to develop. See again our article on flashs.
From the same video :
Another video :
The rates of birth defects do not seem to have soared, I have not found until now any picture of a baby born with dire difformities as one can find very easily for instance in Iraq. Leukemias and lymphomas have increased recently, as reported by A. T. Kharroubi and R. Y. Abu Seir (“Cancer Care in Palestine“, in Cancer Care in Countries and Societies in Transition, ed. by M. Silbermann). According to Al-Monitor, the Information Center at the Ministry of Health issued a statement in February 2013 according to which 12.4% of the total deaths in Palestine were caused by cancer in 2011, compared to a rate of 10.8% in 2010. Dr. Khalid Thaleb, head of the Oncology Department in Al-Shifa Hospital, also points his finger at uranium, but also notes that “the rate of cancer in the Gaza Strip is the same [as] in Egypt, Jordan and among Arab citizens of Israel”. Micro-nuclear explosions ARE of course carcinogenic and teratogenic (because of neutrons and gamma rays as well as fission products, activation products and U235 dust), but without an additionnal ballast of depleted uranium there is not so much long-term environment pollution and lasting health effects.
One very simple hypothesis might be that Israel makes bombs with some milligrams of very ductile U235 metal, compressed by explosives, with a neutron source, so as to obtain supercriticity and nano levels of nuclear fission, as many other countries do, but actually without depleted uranium (added for waste-rejection purposes (link in French), and likely to have an alternative explanation for soldiers asking for the cause of radioactivity, even though some soldiers are aware of microfission). This is probably avoided by Israel to reduce contamination and avoid international pressure, or maybe in a later project of total annexation of the Gaza Strip (to avoid colonization of a contaminated land).
We also hypothesize that Israel may be using or willing to use neutron weapons that use a powerful neutron source without nuclear fission. Tritium or sodium-24 (for the inflammatory effect). In that case however no flash is to be expected. The “DIME” pellets may actually include neutrons (deadly) and not (only) the metallic pellets that have been disclosed. Neutrons would have an additional carcinogenic effect for persons not in the direct perimeter of the blast (behind walls for instance, as neutrons cross walls very easily), but without leaving visible environmental traces as uranium does. The development of sodium reactors in France may be aimed at selling to Israel the activated sodium (sodium-24) needed. These reactors were always built in the south-Eastern part of the country : Superphénix in Grenoble, and ASTRID will be in Marcoule (Gard), so closer to the potential customer as sodium-24 needs to be quickly used after production (half-life of only 14 hours). We report, in the article linked above, a French call for tenders for new weapons, whose title actually is ASTRID (another acronym but who would be a fool?). It was started more or less at the same time as the sodium reactor project.
Please sign the petition asking for the prohibition of “depleted” uranium and micro-fission in weapons (in French)…
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L’utilisation d’uranium par Israël à Gaza semble ne pas être aussi polluant que dans d’autres conflits (Irak, Afghanistan, etc). L’uranium a été retrouvé dans plusieurs échantillons de poussière à Gaza : en avril 209, une mission de 4 personnes incluant Jean-François Féchino est allée à Gaza sous les auspices de la Commission Arabe pour les Droits Humains. Les échantillons de terre et de poussière qu’ils ont ramené de Gaza ont été ensuite analysés par un laboratoire expert, qui y a trouvé la présence d’uranium appauvri (radioactif, cancérigène, tératogène), des particules de césium (radioactif et cancérigène)…(Article d’Al Monitor)
Le césium est une preuve de micro-fission, et les flashs sont également une preuve nette. C’est par exemple évident dans cette vidéo d’un raid aérien sur Gaza, où l’on voit clairement des flashs de lumière suivis de boules de feu. La production de lumière est la caractéristique de la fission nucléaire, ici simplement d’une intensité limitée. Elle a lieu à l’instant précis de la réaction en chaîne, alors que la boule de feu prend un peu plus de temps à gonfler. Lire notre article sur les flashs (en anglais).
De la même vidéo :
Autre vidéo:
Les taux de malformations congénitales ne semblent pas avoir explosé, je n’ai pas trouvé jusqu’à présent de bébé né avec de graves malformations comme on en voit très facilement par exemple en Irak. Les leucémies et les lymphomes ont augmenté récemment, comme le rapportent A. T. Kharroubi et R. Y. Abu Seir (“Cancer Care in Palestine“, in Cancer Care in Countries and Societies in Transition, ed. by M. Silbermann). D’après Al-Monitor, le Centre d’Information du Ministère de la Santé a publié une déclaration en février 2013 selon laquelle 12,4% du total des décès en Palestine étaient causés par le cancer en 2011, contre 10,8% en 2010. Dr. Khalid Thaleb, chef du département d’oncologie à l’hôpital Al-Shifa, pointe également du doigt l’uranium, mais note aussi que “le taux de cancer dans la bande de Gaza est le même qu’en Égypte, Jordanie et parmi les citoyens arabes d’Israël”. Les micro-explosions nucléaires sont bien sûr cancérigènes et tératogènes (en raison des neutrons, des rayons gamma, des produits de fission et d’activation ainsi que de la poussière d’U235), mais sans un ballast d’uranium appauvri en plus dans l’obus la contamination environnementale sur le long terme est moins significative.
Une hypothèse très simple serait qu’Israël fait des bombes avec quelques milligrammes d’U235 très ductile, comprimé par des explosifs, avec une source de neutrons, afin d’obtenir sur-criticité et des niveaux microscopiques de fission nucléaire, comme le font beaucoup d’autres pays, mais sans l’uranium appauvri (inclus par les autres pays notamment pour se débarrasser de cet uranium superflu, et probablement aussi pour mentir aux soldats sur la cause de la radioactivité, même si certains soldats sont au courant de la micro-fission). Ceci s’expliquerait par la volonté d’Israël d’éviter une pollution persistante, des problèmes massifs de santé de la population et une nouvelle vague de pressions internationales, ou peut-être dans un projet futur d’annexion totale de la bande de Gaza (éviter de polluer à l’uranium appauvri une terre qu’ils prévoient un jour de coloniser).
Nous faisons aussi l’hypothèse qu’Israël pourrait utiliser ou prévoir d’utiliser des armes à neutrons utilisant une source de neutrons puissante, mais sans fission nucléaire. Le tritium ou le sodium-24 pour l’effet incendiaire (article en anglais). Aucun flash dans ce cas. Les bombes “DIME” pourraient avoir pour micro-projectiles non seulement les particules de métal officiellement reconnues, mais aussi des neutrons (létaux). Les neutrons auraient un effet cancérigène supplémentaire pour des personnes ne se trouvant pas dans le périmètre direct de l’explosion (derrière des murs par exemple, car les neutrons traversent les murs sans problème), mais sans laisser de traces environnementales visibles comme l’uranium. Le développement de réacteurs au sodium en France pourrait avoir pour but la vente à Israël de sodium activé (sodium 24) nécessaire pour ces bombes. Tous les réacteurs et projets de réacteurs au sodium, en France, ont été construits dans un grand quart sud-Est du pays (Superphénix à Grenoble, ASTRID à Marcoule dans le Gard), donc au plus près du client potentiel, qui a besoin de recevoir en temps et en heure un produit qui se périme très vite (demi-vie du sodium 24 de 14 heures). L’article sur le sodium-24 fait aussi référence à un appel d’offres de la Direction Générale des Armements pour de “nouvelles armes” lancé à peu près en même temps qu’ASTRID et intitulé, lui aussi… ASTRID (sans référence directe au réacteur mais qui serait dupe ?).
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